Cette semaine, en cette journée particulière, la Saint-Valentin est à la une de la revue de web. Il semblerait que Cupidon ait déserté les bureaux. C’est en tout cas ce que révèle une enquête intitulée « C’est quoi l’amour au travail en 2025 ? », menée par le cabinet de recrutement MeilleursChasseurs.fr. Sur les 4.412 personnes interrogées, 68% affirment qu’il est désormais difficile de trouver l’amour au travail. Pourtant, 39% reconnaissent avoir déjà vécu une relation amoureuse dans un cadre professionnel. À l’heure des applications de rencontre et des interactions de plus en plus digitalisées, le langage de l’amour évolue. Des termes comme “crush”, “love bombing” ou encore “breadcrumbing”, popularisés par les générations Z et Alpha, illustrent ces nouvelles dynamiques. Explications, pour briller dans les discussions autour de la machine à café. En parallèle, la marque employeur fait aussi l’actualité cette semaine. L’intelligence artificielle va-t-elle prendre nos emplois ? Dans les départements RH, cette idée provoque de nombreuses inquiétudes. Une étude récente de McKinsey (« The State of AI in Talent Acquisition », 2023) révèle que 65% des professionnels du recrutement redoutent d’être remplacés par des algorithmes d’ici 2030. Mais peut-être est-il temps de changer de perspective. Et si l’IA, loin d’être une menace, représentait en réalité une opportunité précieuse pour l’avenir ? À l’occasion du Sommet pour l’action sur l’Intelligence artificielle, qui s’est tenu cette semaine à Paris, il est essentiel de revenir sur un sujet au carrefour des transitions numérique et écologique : l’impact environnemental de l’intelligence artificielle. En entreprise, comment envisager un usage raisonné de l’IA ? On termine cette revue de web avec la QVCT. Le brown-out, cette « démission » morale face à des missions jugées dénuées de sens, gagne du terrain dans les entreprises. Pour accompagner ces collaborateurs démotivés, il est crucial d’engager le dialogue, d’adapter les missions pour les rendre plus épanouissantes et de créer des environnements de travail flexibles et personnalisés. La création de personas collaborateurs permet également une gestion plus ciblée et efficace. Face à ces défis, entreprises et dirigeants doivent agir vite pour renforcer l’engagement, favoriser le bien-être et maintenir la productivité, quel que soit le lieu de travail.
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