L’arrivée d’une fulgurante 5e vague que fait craindre le variant Omicron a amené le gouvernement à faire de nouvelles annonces le 25 novembre dernier. Le nouveau protocole sanitaire insiste principalement sur le respect renforcé des désormais bien connus gestes barrières : distanciation, port du masque et la qualité de l’aération.
Fébriles, les entreprises se disent toutefois prêtes à faire reprendre le télétravail. Un levier qui ne fait pas, pour le moment, l’objet d’une obligation, mais que la ministre du Travail, Elizabeth Borne, invite toutefois à favoriser. S’il était déjà en place dans certaines organisations avant le début de la crise, certaines entreprises plus novices en la matière se montrent réfractaires à ce mode de travail qui ne leur permet pas de contrôler l’activité de leurs salariés. Se sont ainsi développées de nouvelles pratiques de surveillance à distance des salariés. Quel impact cette surveillance a-t-elle sur les salariés ? Comment expliquer cette défiance alors que le télétravail a manifestement un effet plus que positif sur leur productivité. Parfois même trop. En effet, la difficile séparation entre la sphère personnelle et professionnelle a eu des répercussions sur la santé mentale des travailleurs.
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