Cette semaine, l’intelligence artificielle est à la une de la revue de web. Elle révolutionne la gestion des ressources humaines en entreprise en simplifiant les processus et en offrant un accompagnement personnalisé, à la fois individuel et collectif, pour les collaborateurs. En automatisant les tâches à faible valeur ajoutée comme la rédaction d’offres d’emploi, la synthèse d’entretiens, l’analyse de parcours ou la vérification des compétences, elle permet aux DRH de gagner en temps, en productivité et en efficience. Mais au-delà de ces bénéfices, l’IA redéfinit les priorités : elle libère les DRH pour qu’ils se recentrent sur ce qui compte vraiment, l’éthique et l’humain. Pour tirer le meilleur parti de cette technologie, les professionnels RH doivent en maîtriser les enjeux et intégrer ce nouvel assistant dans leur quotidien, tout en renforçant la dimension humaine de leur rôle. En parallèle, la QVCT fait aussi l’actualité cette semaine. La santé mentale au travail est un enjeu majeur face à l’hyperconnectivité et à des rythmes intenses. Le droit à la déconnexion, instauré par la loi Travail en 2017, offre une réponse clé en limitant les sollicitations numériques hors horaires professionnels, garantissant ainsi des périodes de repos. Le télétravail ajoute des défis, notamment le manque de moyens adaptés, accentuant la responsabilité de l’employeur en matière de santé et de sécurité, quel que soit le lieu d’exercice. Assurer un environnement de travail favorable reste essentiel pour préserver l’équilibre des salariés. On termine cette revue de web avec la Gen Z. La société et le monde du travail évoluent, mais à des rythmes parfois discordants. En France, la Génération Z incarne cette dissonance, revendiquant des aspirations radicalement différentes de celles de leurs aînés. Exit le rêve du CDI à tout prix : leur motivation première est le salaire, une priorité assumée qui bouscule entreprises et managers. Pourtant, cette génération, souvent en première ligne, subit aussi un risque accru de burnout face à des emplois rigides et peu flexibles. Leur message est clair : ils attendent plus de flexibilité, un meilleur équilibre de vie et des solutions concrètes pour préserver leur bien-être au travail, une exigence qui redéfinit les codes traditionnels de l’entreprise.
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