Si le retour progressif au bureau marque un début de retour à la normale, les séquelles de la crise sont encore bien présentes chez les collaborateurs, comme le montrent les chiffres de la deuxième édition du baromètre sur la “charge mentale professionnelle”. Cette dernière est définie comme l’encombrement psychologique provoqué par des préoccupations d’ordre professionnel, y compris en dehors des horaires de travail. Le résultat est sans appel : avec les confinements successifs, la vie professionnelle a largement empiété sur la sphère personnelle. 92 % des Français pensent au travail après les heures de bureau ! Dans cette atmosphère d’inquiétude, une lueur d’espoir ? Après avoir anticipé 230 000 emplois détruits cette année, l’Unédic table désormais sur la création de 126 000 emplois. Et cela ne devrait pas s’arrêter en 2022 et 2023. Enfin, le Conseil d’Etat a suspendu les règles de calcul du montant de l’allocation chômage qui devaient entrer en vigueur au 1er juillet, selon une ordonnance rendue publique mardi 22 juin.
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