Muriel Pénicaud présentait mardi 5 mars l’index pour l’égalité salariale femme-homme. Avec pour objectifs « d’instaurer dans notre pays une compétition positive entre les entreprises […] et jouer sur l’attractivité des talents, la réputation, l’amélioration du dialogue social », a fait valoir la ministre du Travail. À compter du 1er mars 2019, cet index pose une obligation de résultat pour les entreprises de plus de 1 000 salariés : si l’égalité salariale entre les femmes et les hommes n’est pas atteinte en 2022, ces organisations s’exposent à une sanction financière. Concrètement, cet index permet de noter les entreprises sur 100 points. Celles qui obtiennent un score inférieur à 75 disposent de trois ans pour corriger le tir avant d’être tapées au porte-monnaie. Dans cette revue du web spécial 8 mars, on vous parle aussi du harcèlement et des violences sexuelles dans le milieu du journalisme.
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